Cycle de conférences au Festival Bouche à oreille 2022 -Parthenay(79)

Fonds phono-ethno Valière

Dans cette trilogie de communication, proposée par trois enseignants-chercheurs de l’UFR de Lettres et langues de l’université de Poitiers, un état des lieux des recherches menées actuellement au sein de l’établissement, sera présenté dans le cadre du festival. Curieux, passionnés, locuteurs ou non… ces temps de présentations sont ouverts à tous !

Vendredi 29 Juillet – 11h00 à La Guinguette du festival : Un fond de langues régionales : le Fonds phono-ethnographique Valière par Estèle Dupuy


Le fonds « phono-ethnographique » Valière se compose de 1947 bandes magnétiques audio, de documents écrits (cahiers d’enquête et de notes), de clichés photographiques et de vidéo.
Ces témoignages ont été recueillis par Michel Valière et Michèle Gardré-Valière en immersion dans divers milieux sociaux et culturels de 1965 aux années 2000, dans un esprit humaniste.

Déposé en 2016 aux archives départementales de la Vienne, il est en cours de numérisation et actuellement consultable partiellement.


Différentes aires d’enquête le caractérise et forment un socle immatériel de la culture du Poitou-Charentes, en particulier du sud de la Vienne ; mais on y trouve aussi explorées les aires de Vendée et les domaines occitans de l’Agenais, du Languedoc et du Limousin, ou encore la Brenne, le Tras Os montes (Portugal), les Ardennes wallones (Belgique).
Nous présenterons brièvement ce trésor culturel, en mettant l’accent sur son vivier inestimable de langues régionales, et l’évolution des mentalités dans la perception de celles-ci par certains locuteurs eux-mêmes.

Cycles de conférences au Festival Bouche à Oreille 2022 -Parthenay(79)

La vitalité des langues régionales

Dans cette trilogie de communication, proposée par trois enseignants-chercheurs de l’UFR de Lettres et langues de l’université de Poitiers, un état des lieux des recherches menées actuellement au sein de l’établissement, sera présenté dans le cadre du festival. Curieux, passionnés, locuteurs ou non… ces temps de présentations sont ouverts à tous !

Jeudi 28 Juillet – 11h00 à La Guinguette du festival : Vitalité des langues régionales en Poitou-Saintonge et dans les Pays d’oc par Jean-Christophe Dourdet

Les langues régionales ont souffert et souffrent encore de la politique linguistique du tout français en France. Il existe pourtant près de 75 langues dénombrées sur les territoires de la république française. En Poitou et en Saintonge, dont l’Angoumois, le poitevin-saintongeais est encore en usage, bien que précaire, mais une réconfortante vitalité demeure dans le domaine de la création (musique, littérature, théâtre…) malgré un déficit d’enseignement notamment public.

Pour la langue d’oc ou occitan, la situation est assez semblable même si l’occitan jouit d’un enseignement reconnu et agréé par l’Éducation nationale, moyen essentiel pour tenter de continuer de transmettre la langue à défaut de transmission familiale désormais.

Jean-Christophe Dourdet vous propose de partir à la découverte de la vitalité de ces idiomes de la moitié sud de la France.

Cycle de conférences au Festival Bouche à Oreille 2022 Parthenay (79)

« Langues de France et numérique »

Dans cette trilogie de communication, proposée par trois enseignants-chercheurs de l’UFR de Lettres et langues de l’université de Poitiers, un état des lieux des recherches menées actuellement au sein de l’établissement, sera présenté dans le cadre du festival et à tous (curieux, passionnés, locuteurs de langue régionale…). Nul besoin d’être spécialiste !

Samedi 30 Juillet – 11h00 à La Guinguette du festival : Accroître la vitalité et la visibilité numérique des langues de France : le cas du poitevin-saintongeais par Marianne Vergez-Couret & Mathieu Moncomble

Dans nos sociétés actuelles, le numérique est un des enjeux de la reconstruction et du renouveau des langues minoritaires. Pourtant le réseau d’expert en technologies du langage META-NET. alerte sur le risque “d’extinction numérique” des langues minorisées.

Il est donc urgent de développer des ressources numériques et des technologies du langage pour renforcer la visibilité numérique de toutes les langues et ainsi contribuer à leur vitalité, leur sauvegarde et leur enseignement.

Nous proposons donc de faire un état des lieux des ressources numériques existantes pour le poitevin-saintongeais et de la présence numérique de la langue, à travers notamment la présentation de TELPOS (Textes électroniques en langue poitevine-saintongeaise) ou « Trésor de la langue poitevine-saintongeaise » comme le nommait Liliane Jagueneau à l’initiative de ce projet et du projet DIVITAL (Accroître la vitalité et la visibilité numérique des langues de France) actuellement financé par l’Agence Nationale de la Recherche.

Dossier langues régionales dans la revue Le Picton

La revue Le Picton présente l’histoire et le patrimoine de Poitou-Charentes depuis une quarantaine d’années, à raison d’un numéro par trimestre. A chaque parution, un dossier spécial y présente un sujet sur une vingtaine de pages, avec de multiples contributions sélectionnées avec rigueur, émanant de scientifiques, de spécialistes ou de passionnés.

Le Picton des mois de mars à mai 2022 s’intéresse aux langues régionales et nous propose une riche présentation du parlanjhe, grâce à des participations variées.

Parmi celles-ci, une bande dessinée peut ici être présentée sans contrevenir aux droits de reproduction. La découverte des autres articles sera soumise à l’acquisition de ce numéro ici (ainsi que tous les autres).

http://lepicton.fr/

Faute d’espace suffisant dans la revue, la version parue a dû être réduite à une seule page au lieu de deux, et donc amputée de plusieurs dessins. Voici ici la version originale, inédite.

Courrier au président de la Région Nouvelle-Aquitaine

Suite au vote de la loi Molac datant de l’année dernière, l’UPCP-Métive (tête de réseau associatif regroupant une quarantaine d’associations œuvrant pour la valorisation de la culture orale en Poitou-Charentes et Vendée), représentant le poitevin-saintongeais au,sein de DPLO, a adressé un courrier au président de Région afin d’étudier les possibilités d’un enseignement du parlanjhe, puisque ladite loi Molac indique que celui-ci est possible à partir du moment où une instance régionale en fait la demande.

Monsieur le Président,

La loi Paul Molac du 8 avril 2021 et la circulaire du ministre de l’Éducation nationale du 14 décembre 2021 ouvrent des perspectives pour toutes les langues régionales de France, à la condition que les collectivités territoriales en demandent explicitement l’application. La coordination nationale Défense et promotion des langues d’oïl (DPLO), dont l’UPCP-Métive, est fondatrice se félicite qu’une langue d’oïl, le Picard, ait été ajoutée aux langues bénéficiant déjà d’un enseignement. Le normand, à la demande de la FALE, fédération qui le représente, et suite à l’intervention de la Région Normandie, est en bonne voie de l’obtenir.

Le poitevin-saintongeais (dans ses variétés poitevine et saintongeaise) figure depuis 1999 dans la liste des langues de France de la Délégation à la langue française et aux langues de France (DGLFLF), suite au rapport du linguiste Bernard Cerquiglini, et le Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine reconnait le poitevin-saintongeais comme langue régionale aux côtés du basque et de l’occitan.

L’UPCP-Métive a toujours revendiqué que soit organisé un enseignement du Poitevin-Saintongeais, du primaire à l’université, afin d’assurer la pérennité de sa pratique vivante et la transmission de ce patrimoine linguistique.

S’agissant de l’Enseignement Supérieur, la conjoncture actuelle semble plutôt favorable puisque la Faculté de Lettres et Langues et l’Université de Poitiers ont accepté

- la réouverture d’une Unité d’Enseignement du poitevin-saintongeais pour le second semestre 2022-2023, proposée à tout-es les étudiant-es de l’Université, et la possibilité de choisir langues régionales (poitevin-saintongeais et occitan) en Langue Vivante 3 pour les étudiant.e.s de licence concernés,

- l’ouverture à la rentrée universitaire 2023 d’un Diplôme Universitaire de Poitevin-Saintongeais sur deux ans.

Toutefois la prise en compte du poitevin-saintongeais dans l’enseignement primaire et secondaire (en particulier dans les lycées) ne se fera pas sans une démarche explicite du Conseil Régional.

C’est pourquoi, Monsieur le Président, nous sollicitons une rencontre, afin d’envisager avec vous une demande auprès du ministre de l’Éducation Nationale relative à l’enseignement du poitevin-saintongeais.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments respectueux,

Didier PAILLAUD, président de l’UPCP-Métive

Stéphane BOUDEAU, membre du bureau de l’UPCP-Métive et de DPLO

Aurélien RONDEAU, membre du bureau de l’UPCP-Métive et de Parlanjhe Vivant

Lettre envoyée à:

- Alain Rousset, président du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine,

avec copie à:

- Charline Claveau, Vice-présidente du Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine en charge de la Culture, des Langues et cultures régionales, du Patrimoine et de la Francophonie,

- Jean-Luc Armand, conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine délégué aux langues régionales,

- Justine Terrade, Chargée de Projet Langues et Cultures régionales au Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine

Ci-dessous un article de La Nouvelle République du 25novembre2018

Le Voyage en Oïlie

Le voeyajhe en Oilie

Aneùt, le munde de Béljhique chançant de pever étre sivai pr leùs élisais quant le velant menàe daus encouviciuns su lés parlanjhes minouretaeres. O se trove que chau çhi se mét en lan durant çhéte annàie é depis l’an deràe ét vrae éstasant, qu’ol ét raport a tote la grande réjhiun daus parlanjhes d’Oil. O se noume « Voéyajhe en Oilie » pi ol ét ine manére d’écrivajhe coumun d’ine istoére d’adveniants.

L’idàie de partement, ol ét in étudiant pi ine étudiante béljhiquéns çhi trchant daus afaeres su lés vieùs parlanjhes pr leùs étuderies. In cop, le trovant çhau libre den la bibliotéque de Munce, qu’o se cause de léjhendes pi qu’ol at deden in mot en oil çhi lés émouve tot pllén. Sement, désque le l’avant lu, le s’épamant pi, a leù évellajhe, pu de libre, pu de mot… L’o z-avant tot d’oublliai. Alore, le décidant de se nalàe su lés chemins de tote la cuntràie d’Oil pr tachàe de retrovàe çhau mot.

O ferat tote ine istoere ac ine çhénzaene d’épisodes voure l’érant en Picardie, en Walonie, en Normandie, en Chanpagne, en Brtagne galaese, en Poetou-Séntunjhe, etc. , prtot voure o se cause daus parlanjhes d’Oil. Cha épisode sit grafegnai pr in munde de cha réjhiun, den sun parlanjhe, pi trtot ét pr étre rapilotai den ine ouvrajhe d’écrit ac daus rimajhures, pi çhélés qu’o z-avant organisai velant faere daus fétis de vidéos, pi étou dau tiatre avéc tot çheù. I sé vrae ateni de vere tot çheù qu’o dounerat (sultout que i en sé de part, que i oghi la chance de batir l’adveniant de Poetou-Séntunjhe).

Tot çheù se cale entrmi tot pllén d’àutres entrzuns, que Munce dét étre la capitale eùropéyéne de la Culture en 2015.

I aemeriun bé vere nos matriautais de la Çhulture françaese acotàe de maeme leùs parlanjhes réjhiounàus, en lés coulant ac lés moyéns modérnes de coumunicaciun, queme al ot fét lae la Fédéraciun Walonie-Brusséle. Mé dame ! , i en sun bé logn…

Avant de pever en queneùtre in petit màe, ol at moyén de s’assavantàe su çhau marea, que le sant apràe de batir, cha petit queme o s’avance :

http://voyage-en-oilie.com/

pi su çhaula avéc :

http://www.languesregionales.cfwb.be/

Pi pr 2015, i vedrae que tots lés péplles se disiant la boune annàie den tots lés parlanjhes dau munde !

Stéphane Boudeau

Le voyage en Oïlie

Aujourd’hui, les Belges ont la chance de pouvoir être suivis par leurs représentants lorsqu’il s’agit de mettre en place des projets concernant les langues minoritaires. Il se trouve que celui qui se construit cette année et depuis l’année dernière est particulièrement intéressant, puisqu’il concerne le domaine d’Oïl dans son ensemble. Il s’agit du « Voyage en Oïlie », et prend la forme de l’écriture collective d’un récit d’aventures.

L’idée de départ, c’est un étudiant et une étudiante belges qui recherchent des informations au sujet des langues anciennes dans le cadre de leurs études. Ils trouvent alors un livre dans la bibliothèque de Mons dans lequel il est question de légendes et où ils y découvrent un mot d’Oïl qui leur provoque une intense émotion. Seulement, sitôt après l’avoir lu, ils s’évanouissent et à leur réveil, plus de livre, plus de mot… Ils ont tout oublié. Dès lors, ils décident de partir sur les routes de toute l’ « Oïlie » pour tenter de retrouver ce mot. Cela donnera lieu à une quinzaine d’épisodes qui les mèneront de la Picardie à la Wallonie, en passant par la Normandie, la Champagne, la Bretagne gallèse, le Poitou-Saintonge, etc. , partout où se parle une langue d’Oïl.

Chaque histoire a été écrite par un auteur de chacune des régions, dans sa langue, le tout devant être rassemblé dans un ouvrage illustré. De plus, les organisateurs comptent mettre en place un travail autour de la vidéo, ainsi qu’une forme théâtrale à partir de ce matériel. Je suis impatient de découvrir le résultat de tout cela (surtout que j’ai eu la chance d’y prendre part, en rédigeant l’aventure en Poitou-Saintonge).

Ce travail s’inscrit parmi de nombreuses autres initiatives, Mons étant capitale européenne de la Culture en 2015.

On aimerait voir les responsables culturels français défendre et promouvoir ainsi ses langues régionales, en les associant à la modernité des moyens de communication modernes, comme le fait ici la Fédération Wallonie-Bruxelles. Malheureusement, nous n’en sommes pas là…

En attendant d’en savoir plus, il est possible de se connecter sur le site suivant que les organisateurs sont en train d’alimenter, au fil des avancées du projet :

http://voyage-en-oilie.com/

ainsi que sur celui-ci :

http://www.languesregionales.cfwb.be/

Et pour 2015, j’aimerais que tous les peuples se souhaitent la bonne année dans toutes les langues !

Stéphane Boudeau

Pétition pour la réintégration de la Vendée au Poitou-Charentes

Après l’annonce du redécoupage de la France en quatorze régions, l’absence de consultation publique auprès des acteurs, entre autres associatifs, suscite de nombreuses réactions.

Dans l’esprit de la motion votée par l’Assemblée Générale de l’U.P.C.P., une pétition en ligne est lancée pour reconstituer le Poitou-Charentes en lui réattribuant le département de la Vendée. L’intégration de cette région à d’autres ensembles voisins n’est bien sûr pas remise en cause, quelles que soient les propositions qui pourraient être faites dans l’avenir.

Pour voter :

http://www.avaaz.org/fr/petition/M_le_President_de_la_Republique_francaise_Reintegration_de_la_Vendee_au_PoitouCharentes/

Ci-dessous l’article de Ouest-France faisant suite à la conférence de presse donnée à La Roche-sur-Yon (85) le mercredi 18/06/2014

http://www.ouest-france.fr/ils-defendent-la-culture-poitevine-et-sont-contre-le-decoupage-territorial-2639864

Envoi d’un courrier aux députés de Poitou-Charentes et Vendée

En réaction au rapport Rémi Caron remis en Juillet 2013 à Madame de la Culture la Ministre Aurélie Filipetti (voir l’article en page d’accueil de notre site), l’UPCP a adressé un courrier à tous les députés des régions où elle développe son action, afin de les alerter sur le contenu de ce document, dans lequel les langues d’oïl sont mises de côté, voire remises en cause en tant que telles, la préconisation de leur enseignement n’étant évoquée que dans le cadre … des cours de français !

Madame la Députée, Monsieur le Député,

L’Union pour la Culture Populaire en Poitou-Charentes-Vendée (UPCP-Métive) réunit une quarantaine d’associations sur l’aire linguistique de la langue poitevine-saintongeaise (dans ses deux variétés poitevin et saintongeais). L’UPCP se réjouit que l’Assemblée nationale ait adopté le mardi 28 janvier 2014 la proposition de loi constitutionnelle visant à ratifier la Charte européenne des langues régionales.

En 1999, Bernard Cerquiglini, directeur de l’Institut national de la langue française (CNRS), était chargé par le Ministre de l’Education nationale et la Ministre de la Culture d’établir une liste des langues de France concernées par la Charte européenne. Le rapporteur, après consultation de douze spécialistes, a considéré que les langues d’oïl devaient faire partie de cette liste : « L’écart n’a cessé de se creuser entre le français et les variétés de la langue d’oïl, que l’on ne saurait considérer aujourd’hui comme des ̋dialectes du français ̋ ; franc-comtois, wallon, picard, normand, gallo, poitevin-saintongeais, bourguignon-morvandiau, lorrain, doivent être retenus parmi les langues régionales de la France ; on les qualifiera dès lors de ̏langues d’oïl ̋, en les rangeant dans la liste. »

Malheureusement, un nouveau rapport, demandé par la Ministre de la culture à un Comité consultatif, ne considère plus les langues d’oïl comme directement concernées par la Charte, puisqu’il envisage leur enseignement éventuel dans le cadre du cours de français.

Le poitevin-saintongeais bénéficie actuellement d’un groupe de travail nommé par la région Poitou-Charentes et composé de conseillers régionaux, d’experts et d’associatifs. Des rencontres, des concours de littérature en poitevin-saintongeais sont régulièrement organisés. Des émissions de radios locales privées sont diffusées. Un enseignement est dispensé à l’université de Poitiers. Des interventions ponctuelles ont lieu dans les écoles à l’initiative de certains enseignants et d’associations. Des outils pédagogiques (dictionnaire, grammaire, documents audiovisuels…) ont été réalisés, notamment par Geste Éditions fondée par l’UPCP.

C’est pourquoi nous vous demandons, Madame la Députée, Monsieur le Député, de veiller à ce que le poitevin-saintongeais ne soit pas victime de discrimination, qu’il puisse à la faveur de l’adoption de la Charte européenne bénéficier :

1° d’un enseignement optionnel spécifique de la maternelle à l’université,

2° de la formation d’enseignants,

3° de l’ouverture d’une option facultative au baccalauréat,

4° d’émissions régulières de radio et de télévision dans le service public,

5° de l’aide à la création,

6° d’une place dans l’espace public.

Ces mesures, qui seraient mises en place progressivement, n’auraient pas un coût démesuré, contrairement à ce que certains laissent entendre, et ne remettraient nullement en cause la position du français comme « langue de la République ». Un enseignement du poitevin-saintongeais a d’ailleurs eu lieu dans plusieurs IUFM de la région pendant plusieurs années et des émissions télévisées ont été diffusées en 1985-1986 sur FR3.

Veuillez recevoir, Madame la Députée, Monsieur le Député, nos respectueuses salutations.

Vote par l’UPCP-Métive d’une motion pour une Région administrative Poitou-Charente-Vendée.

Lors de son Assemblée Générale ordinaire du 5 Avril 2014, la motion en faveur d’un rattachement de la Vendée à la Région Poitou-Charentes a été votée à l’unanimité.